Gestion du poids

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• La perte de poids est une préoccupation plus importante pour les hommes d’âge moyen. 31 % des hommes âgés de 40 à 64 ans souhaitent perdre du poids, contre 14 % des adolescents âgés de 10 à 17 ans et 21 % des hommes âgés de 18 à 39 ans.
• Les hommes âgés de 65 ans et plus souhaitent plus souvent conserver un poids stable (58 %) que les jeunes adultes (38 %) et les adolescents (33 %).
• Les adolescents souhaitent plus souvent prendre du poids que les hommes plus âgés : 11 % des garçons âgés de 10 à 17 ans souhaitent prendre du poids, contre 4 % des hommes âgés de 40 à 64 ans et 2 % des hommes âgés de 65 ans et plus.
• Les hommes se préoccupent davantage de leur poids en vieillissant.
• Les adolescents sont proportionnellement plus nombreux à ne pas se préoccuper de leur poids (42 %), en comparaison des adultes âgés de 18 à 39 ans (33 %), de 40 à 64 ans (27 %) et de 65 ans et plus (16 %).

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• Les femmes âgées de 18 à 64 ans sont plus susceptibles de vouloir perdre du poids. 41 % des femmes âgées de 18 à 39 ans et 38 % des femmes âgées de 40 à 64 ans souhaitent perdre du poids, contre 20 % des adolescentes et 18 % des femmes âgées de 65 ans et plus.
• Les femmes âgées de 65 ans et plus sont plus enclines à vouloir garder un poids stable que les femmes plus jeunes : 58 % des femmes âgées de 65 ans et plus souhaitent garder un poids stable, contre 37 % des adolescentes, 36 % des femmes âgées de 18 à 39 ans et 47 % des femmes âgées de 40 à 64 ans.
• Les adolescentes souhaitent plus souvent prendre du poids que les femmes d’âge moyen : 5 % des adolescentes souhaitent prendre du poids contre 1 % des femmes âgées de 40 à 64 ans.
• Les adolescentes se préoccupent moins de leur poids que les femmes adultes. 38 % des adolescentes ne s’inquiètent pas de leur poids, contre 20 % des femmes âgées de 18 à 39 ans, 14 % des femmes âgées de 40 à 64 ans et 20 % des femmes âgées de 65 ans et plus.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
• Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur si d’application) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.

• La proportion de personnes souhaitant perdre du poids est la même parmi les personnes ayant un faible niveau d’instruction que parmi celles ayant un niveau d’instruction élevé (26 %). 

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• Aucune différence selon la région n’a été observée en ce qui concerne l’attitude vis-à-vis du poids.
• Au niveau de la population belge âgée de 10 ans et plus, 28 % souhaite perdre du poids, 44 % souhaite garder un poids stable, 4 % souhaite prendre du poids et 24 % ne se préoccupe pas de son poids.

• Proportion ajustée = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique, et ajustés selon l’âge et le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (utilisant la population belge de 2022-2023 comme référence).

• En 2022-2023, 32 % des individus âgés de 15 à 64 ans souhaitaient perdre du poids. Ce chiffre est similaire à celui de 2014-2015 (29 %), mais plus élevé qu’en 2004 (19 %).
• En 2022-2023, 40 % des personnes âgées de 15 à 64 ans souhaitaient que leur poids reste stable, ce qui est similaire au résultat observé en 2014-2015 (45 %) mais plus élevé qu’en 2004 (26 %).
• En 2022-2023, 4 % des personnes âgées de 15 à 64 ans souhaitaient prendre du poids, ce qui est plus élevé qu’en 2004 (3 %).
• En 2022-2023, 23 % des personnes âgées de 15 à 64 ans ne s’inquiétaient pas de leur poids, ce qui est semblable à 2014-2015 (23 %), mais beaucoup plus faible qu’en 2004 (52 %).

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
• Modifier le type d’aliments consommés : il s’agit par exemple de consommer moins d’aliments riches en sucre et en graisse et plus de fruits et de légumes.
• Les mesures défavorables à la santé comprennent le tabagisme, l’utilisation de laxatifs, le fait de sauter des repas, le jeûne (plus de 24 heures) et le fait de se faire vomir.
• Changer l’importance relative des repas : par exemple, en mangeant plus le matin que le soir.
• Les autres méthodes incluent notamment la chirurgie bariatrique et la prise de médicaments.

• Le fait de modifier le type d’aliments consommés est la méthode la plus utilisée par les hommes (95 %) et les femmes (94 %) qui souhaitent perdre du poids.
• L’augmentation de l’activité physique est la deuxième méthode la plus utilisée pour perdre du poids ; celle-ci est davantage pratiquée par les hommes (62 %) que par les femmes (48 %).
• Tant chez les hommes que chez les femmes, le suivi d’un régime sous supervision professionnelle (10 % et 6 %, respectivement) et l’utilisation de produits amaigrissants (3 % et 5 %, respectivement) sont des méthodes moins populaires pour perdre du poids.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.Modifier le type d’aliments consommés : il s’agit par exemple de consommer moins d’aliments riches en sucre et en graisse et plus de fruits et de légumes.
• Les mesures défavorables à la santé comprennent le tabagisme, l’utilisation de laxatifs, le fait de sauter des repas, le jeûne (plus de 24 heures) et le fait de se faire vomir.
• Changer l’importance relative des repas : par exemple, en mangeant plus le matin que le soir.
• Les autres méthodes incluent notamment la chirurgie bariatrique et la prise de médicaments.

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• Dans tous les groupes d’âge, le fait de modifier le type d’aliments consommés est la méthode la plus populaire utilisée par les personnes souhaitant perdre du poids ; cette méthode est pratiquée par plus de 84 % de la population.
• Les adolescents sont les plus enclins à augmenter leur niveau d’activité physique (70 %) pour perdre du poids, tandis que les personnes âgées de 65 ans et plus sont les moins enclines à utiliser cette méthode (40 %).
• Les adolescents âgés de 10 à 17 ans (44 %) sont plus enclins à diminuer les calories consommées pour perdre du poids que les personnes âgées de 65 ans et plus (35 %).
• Les méthodes défavorables à la santé sont plus fréquemment rapportées par les adolescents (35 %) que par les adultes âgés de 65 ans et plus (9 %).
• Les personnes âgées de 65 ans et plus sont proportionnellement plus nombreuses (27 %) que les plus jeunes à modifier l’importance relative des repas, par exemple en consommant moins de nourriture le soir.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.Modifier le type d’aliments consommés : il s’agit par exemple de consommer moins d’aliments riches en sucre et en graisse et plus de fruits et de légumes.
• Les mesures défavorables à la santé comprennent le tabagisme, l’utilisation de laxatifs, le fait de sauter des repas, le jeûne (plus de 24 heures) et le fait de se faire vomir.
• Changer l’importance relative des repas : par exemple, en mangeant plus le matin que le soir.
• Les autres méthodes incluent notamment la chirurgie bariatrique et la prise de médicaments.
• Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur si d’application) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.

• Le fait de modifier le type d’aliments consommés est la méthode la plus couramment utilisée pour perdre du poids, quel que soit le niveau d’instruction.
• Les personnes ayant un niveau d’instruction élevé sont plus susceptibles d’augmenter leur niveau d’activité physique pour perdre du poids (68 %) que les personnes ayant un faible niveau d’instruction (48 %).
• Peu de différences sont observées en fonction du niveau d’instruction. En particulier, les méthodes défavorables à la santé sont aussi souvent utilisées chez les personnes ayant un faible niveau d’instruction que chez celles ayant un niveau d’instruction élevé.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
• Modifier le type d’aliments consommés : il s’agit par exemple de consommer moins d’aliments riches en sucre et en graisse et plus de fruits et de légumes.
• Les mesures défavorables à la santé comprennent le tabagisme, l’utilisation de laxatifs, le fait de sauter des repas, le jeûne (plus de 24 heures) et le fait de se faire vomir.
• Changer l’importance relative des repas : par exemple, en mangeant plus le matin que le soir.
• Les autres méthodes incluent notamment la chirurgie bariatrique et la prise de médicaments.

• Tant en Flandre (94 %) qu’en Wallonie (94 %), la modification du type d’aliments consommés est la méthode la plus utilisée pour perdre du poids.
• Augmenter son activité physique est davantage pratiqué en Flandre (60 %) qu’en Wallonie (44 %) pour perdre du poids.
• Peu de différences régionales sont observées pour les autres méthodes.

• Proportion ajustée = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique, et ajustés selon l’âge et le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (utilisant la population belge de 2022-2023 comme référence).
• Modifier le type d’aliments consommés : il s’agit par exemple de consommer moins d’aliments riches en sucre et en graisse et plus de fruits et de légumes.
• Les mesures défavorables à la santé comprennent le tabagisme, l’utilisation de laxatifs, le fait de sauter des repas, le jeûne (plus de 24 heures) et le fait de se faire vomir.
• Changer l’importance relative des repas : par exemple, en mangeant plus le matin que le soir.
• Les autres méthodes incluent notamment la chirurgie bariatrique et la prise de médicaments.

• Quelle que soit l’année d’enquête, le fait de modifier le type d’aliments consommés reste la méthode la plus courante pour perdre du poids.
• Le fait d’augmenter son activité physique est devenue une méthode plus populaire pour perdre du poids au fil des ans. Alors que 46 % des individus âgés de 15 à 64 ans rapportaient utiliser cette méthode en 2004, cette proportion est passée à 53 % en 2014-2015 et à 58 % en 2022-2023.
• En 2022-2023, le fait de consommer moins de calories était moins fréquemment rapporté (43 %) comme méthode pour perdre du poids qu’en 2014-2015 (55 %) et qu’en 2004 (74 %).
• Les méthodes défavorables à la santé étaient moins fréquemment rapportées comme méthodes pour perdre du poids en 2022-2023 (25 %) qu’en 2014-2015 (35 %).
• Enfin, le fait de changer l’importance relative des repas a été moins fréquemment cité comme méthode pour perdre du poids en 2022-2023 (8 %) qu’en 2014-2015 (22 %).

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• Dans toutes les catégories d’âge, la plupart des personnes cherchant à perdre du poids le font de leur propre initiative : 76 % des adolescents, 94 % des adultes âgés de 18 à 39 ans, 91 % des adultes âgés de 40 à 64 ans et 80 % des adultes âgés de 65 ans et plus essaient de perdre du poids de leur propre initiative.
• Davantage de personnes âgées de 65 ans et plus cherchent à perdre du poids sur conseil d’un professionnel de la santé (31 %), en comparaison avec les adolescents (13 %), les adultes âgés de 18 à 39 ans (11 %) et les adultes âgés de 40 à 64 ans (18 %).
• Les adolescents sont davantage motivés par les conseils de leur famille ou de leurs amis (23 %) que les adultes âgés de 18 à 39 ans (13 %) et ceux âgés de 65 ans et plus (11 %).

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• Les femmes rapportent plus fréquemment (92 %) que les hommes (85 %) chercher à perdre du poids de leur propre initiative.
• 17% des hommes et 12% des femmes cherchent à perdre du poids sur conseil de leur famille ou de leurs amis.
• Les hommes cherchent plus fréquemment (24%) que les femmes (13 %) à perdre du poids sur conseil d’un professionnel de la santé.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
• Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur si d’application) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.

• Le pourcentage de personnes souhaitant perdre du poids de leur propre initiative augmente avec leur niveau d’instruction. Plus précisément, 87 % des personnes ayant un faible niveau d’instruction prennent l’initiative de perdre du poids, tandis que ce pourcentage est de 93 % chez les personnes ayant un niveau d’instruction élevé.
• Parmi les personnes ayant un faible niveau d’instruction, une sur cinq cherche à perdre du poids sur conseil d’un professionnel de la santé.

• Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.

• 89 % de la population belge âgée de 10 ans et plus essaie de perdre du poids de sa propre initiative.
• 14 % de la population belge suit les conseils de sa famille ou de ses amis.
• 18 % suivent les conseils d’un professionnel de la santé.
• Aucune différence notable n’est observée entre les régions à ce sujet.

• Proportion ajustée = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique, et ajustés selon l’âge et le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (utilisant la population belge de 2022-2023 comme référence).

• En 2022-2023, 91% de la population belge âgée de 15 à 64 ans cherchait à perdre du poids de sa propre initiative, un chiffre comparable à celui de 2004 (91%) et de 2014-2015 (89%).
• En 2022-2023, 15 % des individus ont été guidés par les conseils d’un professionnel de la santé dans leur décision de perdre du poids. Ce chiffre est inférieur à celui de 2014-2015 (30 %) et de 2004 (26 %).
• En 2022-2023, 15 % des personnes ont été influencées par leur famille ou leurs amis dans leur décision de perdre du poids. Ce chiffre est inférieur à celui de 2014-2015 (33 %) et comparable à celui de 2004 (16 %).